Sovren a pris un engagement : celui d’aider les recruteurs à limiter le temps qu’ils passent à étudier les CV des candidats. Sa solution de mise en correspondance doit donc être rapide et précise. Ce sont ces deux facteurs qui entraîneront une expérience client positive et aideront Sovren à différencier son produit.
Seul bémol : la solution de recherche sur site qu’utilisait Sovren jusque-là, dtSearch, n’était pas performante à l’échelle dont ils avaient besoin. À partir de 4 millions de CV, les installations commençaient à décliner, dûes au manque d’attention des clients et de maintenance appropriée, entraînant une chute des performances.
Avant Elastic, c’était donc un véritable parcours du combattant pour faire fonctionner le produit de mise en correspondance, et surtout : correctement. Alors qu’il était facile de justifier le temps passé pour aider les grandes entreprises, il était néanmoins difficile d’expliquer l’ajout de ressources pour des transactions moins rentables. C’est pourquoi Sovren a décidé de ne pas proposer le produit aux entreprises de plus petite envergure. Cependant, en procédant ainsi, la société se privait d’une source potentiellement lucrative d’expansion et de revenus.
Sovren était consciente qu'afin de pouvoir grandir il était primordial de régler le problème de scalabilité de son moteur.