"Bien entendu, nous aidons les équipes DevOps en stockant et en conservant les informations de logs. Ainsi, elles seront en mesure de développer des tableaux de bord pour leurs propres systèmes fondés sur une excellente source", poursuit le chef de produit.
Un deuxième groupe d'utilisateurs du data lake comprendra des investigateurs qui étudient les cas suspects de "mauvais usage des données de la police".
"Un agent qui souhaite vérifier si le petit copain de sa fille a un casier judiciaire est un exemple de mauvais usage des données de la police. Une telle action doit être liée à son travail", explique le chef de produit.
Comme ce responsable le précise, un troisième groupe d'utilisateurs est constitué des développeurs du centre des opérations de sécurité "qui cherchent les anomalies dans l'utilisation des données".